Mouvement nationaliste genevois

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BERNE – Des extrémistes de gauche blessent trois policiers

Des casseurs ont érigé et incendié une barricade sur une route près du centre autonome «Reitschule» de Berne dans la nuit de samedi à dimanche.
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Les policiers arrivés sur les lieux et qui devaient couvrir les pompiers ont été accueillis par des jets de bouteilles et d’engins pyrotechniques.

La police a répliqué par des tirs de balles en caoutchouc et du gaz lacrymogène. Elle a constitué une chaîne d’agents afin de débarrasser les débris, a-t-elle annoncé dimanche. La circulation des transports publics et privée a été entravée.

Trois policiers blessés.

Lorsque la police et les pompiers arrivèrent en nombre sur le point chaud, il y eut de lourds affrontements, lors desquels trois policiers furent blessés : « Plusieurs casseurs attaquèrent les forces d’intervention au moyen de pierres et de bouteilles de gaz. », raconte la lectrice-reporter Kathrin Tschaar. » La femme de 46 ans avait observé les rudes scènes de près : « Il y avait plusieurs feux et le chaos régnait ». Egalement le passant Jan Holger Engberg, rentrant chez lui, fut témoin par hasard des émeutes. « Sur le sol il y avait des containers renversés, tout était plein d’éclats de verre ». L’air était imbibé de gaz lacrymogène.

Les policiers mobilisés en masse nécessitèrent quatre heures pour se rendre maître du chaos : « Nos hommes durent d’une part tenir les casseurs à distance et d’autre part permettre aux pompiers de faire leur travail. » dit Corinne Müller, porte-parole de la police cantonale bernoise. Le degré de violence élevé des agresseurs, tout comme le nombre élevé de passants sur la Schützenmatte auraient rendu cet engagement plus difficile cet engament.

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Quelques photos de la Reitschule: 

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Ci-dessus, la Reitschule en 1977, c’était mieux avant !

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ABSTIMMUNG, FEIER, AUTONOMIE, SELBSTVERWALTUNG, KULTURZENTRUM, REITSCHULE, AJZ KULTURRAUM, KULTURTREFF, ALTERNATIVKULTUR, ALTERNATIV, REITHALLE,

Titel: Neuer Schriftzug Reithalle.  © Jürg Spori

(Source: http://www.20min.ch/ro/news/faits_divers/story/28344988 , http://www.20min.ch/schweiz/bern/story/Schon-wieder–Chaoten-wueten-vor-Reitschule-19953083 )


GENEVE – Trafic de drogue: le deal, c’est si facile!

º Eradiqué le trafic de drogue? On en est loin.
º Certaines rues de la ville sont squattées par les dealers.
º Reportage en immersion nocturne.

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Acheter de la  drogue à Genève est d’une facilité déconcertante. La preuve? Mercredi 9 octobre en début de soirée, accompagné d’un gros bras rassurant, nous avons arpenté les rues et venelles de la ville où, nous dit-on, il est aisé de se fournir en substances illégales. Aisé est un euphémisme.

Rue Voltaire
Notre parcours débute vers 21 heures du côté de la rue Voltaire, pas très loin de la gare Cornavin. Premier étonnement,  le square situé en bas du préau du collège, bien que grillagé depuis  les plaintes de voisins signalant de nombreuses incivilités liées au  deal, a son portail grand ouvert. Le lieu est toutefois désert. Il  pleut un peu. Nous nous rendons alors plus loin, le long de la voie de chemin de fer, sur une petite place située à deux pas des cabanons de l’Armée du Salut.
Trois hommes d’origine maghrébine sont installés sur un banc, sous un arbre. Un est ivre mort. Le second a les yeux injectés de sang et le troisième écoute de la musique dans son casque. «Vous êtes de la police? demande l’amateur de musique, mais si c’est le cas, on s’en fout».

Shoot au parc, nuit à l’Armée du Salut
La conversation s’engage. On apprend qu’ils viennent du Maroc, d’Algérie et de Saint-Julien et concèdent que le parc voit régulièrement des toxicomanes se shooter par ici. Que font-ils là? «On attend que la lumière du parc s’ éteigne pour aller dormir à l’Armée du Salut», explique celui qui peut  parler. Le centre a 40 places et accueille chaque nuit des paumés,  pour 15 francs avec le petit déjeuner. Le lieu ne désemplit pas. «Seuls des étrangers y dorment», confie l’un des employés, et les personnes trop défoncées ou ivres n’y s’ont pas admises.

Jonction, Usine

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Direction la Jonction. Aux alentours de l’Usine,  rue de la Coulouvrenière, rue du Stand, rue des Rois, rue de l’Arquebuse, on ne peut pas faire dix mètres sans être  apostrophé par un Noir africain. «Salut tu veux quelque chose, nous demande l’un d’eux dans un français approximatif, j’ai de la marijuana». Rien d’autre?  «Si j’ai de la poudre aussi». Non merci. On le quitte et nous rendons à l’intérieur de l’Usine pour nous réchauffer. Il pleut toujours. A l’étage, le bar « La Makhno »,anciennement le « Moloko » (photo ci-dessus) , fréquenté par des personnes issues du milieu de la drogue et aussi de l’extrême gauche (Ex-Moloko évidemment.) est bien rempli. Le temps d’un café et d’une  cigarette (si si, on y fume), nous nous rendons avenue du Mail.

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Le genre de soirée conviviale à passer à « La Makhno ».

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Ci-dessus, un des « leaders » du groupuscule « antifa » très connu de tous autant pour avoir été militant dans le mouvement Skinhead « Blood and Honour » que d’être militant d’extrême gauche, au bar « La Maknho ».

(Ceci n’est pas du fichage, la photo est accessible à tous sur les réseaux sociaux.)

 

Plainpalais
A chaque coin de rue, ou presque, un dealer. S’il n’est pas pendu à son téléphone portable, il nous accoste. Avec toujours et encore les mêmes questions, précisant qu’entre 20 et 50 balles, on aurait ce que l’on veut. Mais combien sont-ils ces marchands de paradis artificiels ou de mort? Impossible de le dire précisément. Des dizaines, sans aucun doute, il est à peine 22 heures 30.
Changement de rive. A la rue du Mont-Blanc, les commerces sont fermés depuis longtemps. Le poste de police des Pâquis est à une centaine de mètres.

«La réalité du trafic de drogue a de quoi donner froid dans le dos»

Zone piétonne
Dans les coins de la zone piétonne, des groupes de jeunes hommes qui se cachent à peine, proposent sans gêne, dès que l’on s’approche, des boulettes de cocaïne. L’heure de Cendrillon approche. La rue de Berne est noire de monde.
La réalité du trafic de drogue, en ce milieu de semaine automnal et frisquet, a de quoi faire froid dans le dos. Et elle n’est rien à côté de l’animation du week-end. n
Les dealers, présents dans divers lieux de la ville, proposent sans gêne leur marchandise. Pascal bitz

Dealers et requérants

«L’immense majorité des dealers de rue sont des requérants provenant d’Afrique noire, confie un gendarme de terrain. Ils ne sont pas tous basés à Genève et proviennent souvent d’autres cantons où ils ont déposé leur demande d’asile. Ils se déplacent en train ou en bus, ayant pour la plupart des abonnements gratuits». Selon certaines estimations, ils seraient plus de 250 à vendre régulièrement leur drogue à Genève. Polices cantonale et municipale ont beau multiplier patrouilles et contrôles, le problème est toujours le même. Ils n’ont pas de papiers, présentent une fausse identité et possèdent rarement de grosses quantités de drogue sur eux. Lorsqu’ils sont interpellés, ils sont rapidement relâchés.

 

« La Makhno » en quelque photos:

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Le bar « La Makhno » doit son nom à un anarcho-communiste Ukrainien Nestor Makhno, Chef d’une armée anarchiste durant la guerre civile russe qui s’est démarquée par son brigandage et ses viols sur les populations, rouges ou blanches.

(Source: ghi.ch)


ITALIE – Intimidations de l’extrême-gauche à l’encontre de CasaPound

ROME – Samedi 19 octobre se sont déroulées d’importantes manifestations “contre l’austérité” en Italie. L’occasion pour l’extrême-gauche italienne de tenter un coup de pression contre le mouvement de droite radicale et sociale CasaPound, qui a son siège Via Napoleone III. La gauche italienne évoque toujours les “risques d’incidents” pour tenter d’interdire les réunions ou manifestations de CasaPound – dont les membres sont régulièrement victimes d’attaques et d’agressions. Force est de constater que les provocateurs ne sont pas toujours ceux auxquels on pense.

(Source: http://fr.novopress.info)


Marco Camenisch, histoire d’un terroriste d’extrême gauche

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Marco Camenisch né le 21 Janvier 1952 à Campocologno dans les Grisons, est un militant d’extrême gauche éco-terroriste et anarchiste Suisse.

En 1980, il tente de se suicider à la prison de Klosterhof.
Actuellement il purge une peine de 17 ans de prison à Zurich pour l’assassinat d’un garde-frontière Suisse en 1989

Jeunesse

Marco Camenisch grandit à Brusio dans les Grisons, où ironie du sort, son père est douanier !
Il abandonne tôt ses études pour un apprentissage de fermier à l’école Plantahof, il devient palefrenier.

Il devient membre du «Comité de soutien aux luttes des détenus» en 1979 et rencontre René Moser.

Début dans l’éco-terrorisme

Camenisch se fait remarqué par les autorités en 1978 à la suite de ses activités liées au groupe Aktion Strafvollzug («Action exécution des peines»).

Le 13 novembre 1979, Camenisch place une charge de dynamite artisanale sur un pylône à haute tension de la plus importante entreprise éléctrique Suisse (NOK) à Flaesch dans les Grisons. Sa tentative fonctionne moyennement. Il provoque CHF 21’500.- de dégâts.

Le matin du 25 décembre 1979, aidé de son ami René Moser, il recommence en faisant sauter un pylône et les transformateurs de la centrale hydro-éléctrique Sarelli à Bad Ragaz (Saint-Gall), qui appartient à la NOK. Le courant est interrompu et un feu se déclare. Camenisch et son ami Moser causent pour CHF 1’400’000.- de dégâts.

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Marco Camenisch et René Moser sont arrêtés le 8 janvier 1980 à Saint-Gall avec un autre militant d’extrême gauche (« René H. ») qui a participé au camouflage du matériel explosif. Après 14 jours d’emprisonnement à Klosterhof à Saint-Gall, Camenisch souffre d’une crise de nerf et doit être hospitalisé. Une fois ramené à Klosterhof, c’est ici qu’il tente de se suicider.

Le 26 Janvier 1981, à Coire, le procès débute pour utilisation criminelle d’explosifs, infraction à la loi sur le matériel de guerre, tentative de vol à main armée contre un pourvoyeur de fonds à Bâle, et de délit contre la Loi Fédérale sur les stupéfiants. René Moser est jugé insuffisant intellectuellement par une expertise. Le procureur requiert neuf ans pour Marco Camenisch, six ans et demi pour René Moser et trois ans et demi pour René H., ainsi que des dommages-intérêts pour un montant de CHF 750’000.- chacun, pour les deux accusés principaux. Camenisch refuse de plaider coupable. Il est condamné à dix ans de réclusion. René Moser est condamné à sept ans et demi de réclusion, et tous deux à CHF 730’000.- de dommages-intérêts. René H., qui a collaboré avec la justice, voit réduire sa peine à trois ans. Marco Camenisch est immédiatement transféré de Coire à la prison de Regensdorf à Zurich pour y purger sa peine.

Evasion de la prison de Regensdorf et cavale

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En prison, Camenisch se lie d’amitié avec la bande italienne Alfa Rouge, coupable de divers vols à main armée et de trois homicides en 1974. Le 17 décembre 1981, Camenisch et les Alfa Rouge s’évadent de la prison en abattant un gardien et en en blessant un autre. Pendant dix ans, Camenisch est en cavale en Italie avec les Alfa Rouge, il travaille et habite sous le nom de Martino près de l’imprimerie anarchiste et éco-terroriste de Carrare en Toscane. Sous pseudonyme, il publie des articles engagés qui paraissent dans les journaux d’extrême gauche.

Assassinat du douanier en Suisse

En automne 1989, le père de Marco Camenisch meurt. La police surveille les funérailles pour le cas où Camenisch se présenterait, sans succès.

Le 3 décembre 1989, Camenisch franchit la frontière. Il est reconnu à Brusio, dans les Grisons, par un garde-frontière suisse, Kurt Moser, qui lui demande ses papiers. L’extrêmiste de gauche, Marco Camenisch sort un revolver et l’abat de trois balles dans la tête, avant de se réfugier chez le pasteur protestant de Brusio, Franco Scopacasa, ami de son père. Le pasteur et sa femme le conduisent jusqu’à Le Prese dans les Grisons, oû il regagne l’Italie.

Le couple est par la suite accusé par le Tribunal de Brusio d’entrave à l’action pénale et condamné à trois mois de détention avec sursis. Ils sont acquittés des années plus tard grâce au témoignage de Camenisch qui dit les avoir contraints.

Capture et procès

La longue cavale de Camenisch se termine le 5 Novembre 1991 lors d’un simple contrôle de papiers sur la route de Cinquale di Montignoso en Toscane, il est contrôlé par les carabiniers Italiens en compagnie de Giancarlo Sergianpietri un militant d’extrême gauche actif dans un journal anarchiste Italien.
Camenisch sort son revolver et tire, blessant l’un des militaires ; la riposte des carabiniers fait sauter la rotule et lui sectionne les terminaisons nerveuses du mollet. On trouve sur lui deux armes à feu et six bombes à main rudimentaires. Il est emmené à l’hôpital de Pise en Toscane où il reste 6 mois, puis à l’infirmerie de la prison San Vittore à Milan en Lombardie.

La Ministère public du district de Dielsdorf à Zurich et La Ministère public des Grisons décernent un mandat d’arrêt et réclament son extradition pour homicide sur un gardien de prison, tentative d’homicide sur un autre et homicide sur un garde-frontière. Camenisch refuse !

Le Tribunal de Massa réclame que Camenisch, terroriste international le plus dangereux réponde de plusieurs crimes commis sur le sol Italien. Il est accusé personnellement de lésion grave sur un carabinier et détention de faux papiers, et, conjointement avec Sergianpietri, de détention de deux armes à feu et de six bombes à main, vol de voiture, substitution de plaques minéralogiques et d’une vingtaine d’attentats commis en trois ans contre des lignes électriques et une antenne de télévision de la chaine de télévision Italienne, RAI, ainsi que d’un «piège explosif» contre les forces de l’ordre (Camenisch avait prévu à l’aide des explosifs de commettre un braquage au bureau de poste de Massa, il a notamment déclaré aux juges qu’il voulait «mourir en luttant»)

Le procès débute le 5 juin 1992. Camenisch rejette toutes les accusations et refuse le dialogue avec la justice, se considérant comme un « prisonnier politique ».Il se contente de «réaffirmer son identité et les raisons de son désaccord irrémédiable avec cette société dictatoriale et consommo-fasciste». La liberté provisoire lui est refusée. Le procureur réclame quinze ans de réclusion et l’Organisme National pour l’Énergie Électrique (Enel), victime des attentats, se constitue partie civile pour réclamer 500 millions de lires (250 000 €).

Le 4 avril 1993, au terme de dix mois de procès, Camenisch est condamné à douze ans de réclusion dans la prison de Biella à Piémont et à 250 millions de lires (125’000 €) de dommages-intérêts en faveur de l’Enel.

Extradition en Suisse et nouveau procès

En avril 2002, après avoir purgé sa peine, Marco Camenisch est extradé en Suisse dans la prison de Regensdorf pour purger les huit ans restant de sa première condamnation.

Son deuxième procès à lieu à Zurich, où il risque l’emprisonnement à vie pour le meurtre du garde-frontière.

Le procès débute 10 mai 2004. Il est marqué par des manifestations d’extrême gauche qui obligent les autorités à renforcer la sécurité autour du tribunal: deux jours plus tôt, 98 personnes avaient été arrêtées au cours d’une manifestation de protestation à Zurich,des extrêmistes de gauches Italiens étaient recensés, faisant craindre pour la sécurité de la Cour d’assises.

Le revolver trouvé sur Camenisch lors de son arrestation à Cinquale di Montignoso est l’arme qui a tué le garde-frontière Kurt Moser.

Le 4 juin 2004, Marco Camenisch est reconnu coupable d’assassinat et condamné à 17 ans de réclusion et à CHF 100’000.- (de dédommagement à la veuve et au fils de sa victime. Sa responsabilité dans l’assassinat du gardien de prison en 1981 n’est en revanche pas reconnue.

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Marco Camenisch devrait être libéré en 2017.

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La vermine antifasciste Genevoise qui rend hommage au terroriste Marco Camenisch.

 

Pour qu’on oublie jamais, encore aujourd’hui, l’extrême gauche est une menace pour la Suisse.
Que Kurt Moser, le garde-frontière, lâchement assassiné par ce terroriste, alors qu’il faisait juste son travail, repose en paix.

(Source:Biographie de Marco Camenisch/Wikipedia)


BERNE – Agressions et violences de l’extrême gauche en marge de la Reitschule

La police est restée sur les lieux jusque vers 5h.

Des affrontements se sont produits dans la nuit de samedi à dimanche autour du centre culturel autonome Reitschule à Berne.

Des individus masqués ou cagoulés ont lancé des engins pyrotechniques contre des passants à la Reitschule dans la nuit de samedi à dimanche, tandis que la police a fait usage de balles en caoutchouc et de gaz lacrymogène.

Des automobilistes et les clients d’un établissement proche ont été visés par des jets de bouteille, des tirs de fusées et autres pétards, a annoncé la police cantonale bernoise dimanche.

A l’arrivée des forces de l’ordre, celles-ci ont été accueillies notamment par des cocktails molotov. Des bennes à ordures ont été incendiées, du matériel de chantier renversé et des voitures endommagées. La police est restée sur les lieux jusque vers 5h.

Source: ATS


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GENEVE – Les « Antifas » agressent des Patriotes Suisses d’origines étrangères


Vidéo

FRANCE – Conférence de presse de Serge Ayoub

Conférence de presse de Serge Ayoub, le 25 juin 2013


Rapport sur la sécurité en Suisse : l’extrême gauche est la plus dangereuse

 

Qu’est-ce qui menace la Suisse? Hier, pour la première fois, le Service de renseignement de la Confédération (SRC) présentait son rapport annuel sous la forme d’un «radar» qui intègre les différentes menaces sur le pays. Celles qui sont proches du centre sont les plus intenses (Voir l’infographie).

Dans le trio de tête, le SRC place l’Iran (prolifération de l’arme atomique), l’espionnage économique (entre cyberattaques et espionnage) et… l’extrémisme de gauche. Ce dernier point est jugé plus préoccupant que les conséquences du Printemps arabe ou le djihadisme inspiré par la nébuleuse d’Al-Qaïda.

En 2011, l’extrémisme de gauche s’est manifesté par l’incendie contre le Tribunal pénal fédéral à Bellinzone le 17 janvier et l’attentat à la lettre piégée contre Swissnuclear en mars. Hors ces cas spectaculaires, le SRC a relevé 244 incidents (dont 113 violents) venant des milieux de l’extrême gauche et 51 incidents (dont 18 violents) des milieux de l’extrême droite. Les formes de violences concernent des manifestations, des dégâts aux bâtiments et des bagarres.

Ces chiffres font bondir le conseiller national Eric Voruz, (PS/VD) membre de la Commission de sécurité du Conseil national: «C’est outrancier. Ces gens ressassent toujours le même schéma issu de la guerre froide. Aujourd’hui, c’est l’extrême droite qui est beaucoup plus dangereuse, comme nous le montrent les événements récents en Norvège ou en Allemagne. Au lieu de continuer à surveiller des Black Blocks qu’ils connaissent par cœur, ils feraient mieux de surveiller les néonazis qui se réveillent comme en Grèce.»

Son collègue de commission, Luc Barthassat (PDC/GE), partage cette inquiétude: «Certes c’est plus spectaculaire avec les Black Blocks. Mais ce qui m’inquiète c’est la montée sournoise de l’extrême droite, notamment chez les jeunes. En Suisse on est encore privilégié, mais autour de nous, les disparités sociales vont en s’exacerbant. Si on ne prend pas les devants, cela explosera d’un extrême à l’autre.»

Le rapport du SRC, lui, a tendance à minimiser le danger venant de la droite: «Outre quelques affrontements avec des extrémistes de gauche ou des dégâts matériels, on assiste tout au plus à des disputes nocturnes dans des restaurants ou lors de fêtes.»

Markus Seiler, chef du SRC, précise que ses hommes mettent pourtant autant d’énergie à observer la scène d’extrême gauche que celle de droite. Il justifie cette place accordée aux gauchistes par les «nuisances réelles causées aux forces de police sur les plans local ou régional».

Et si on lui fait la remarquer que l’extrémisme de gauche, sur son «radar», est jugé bien plus dangereux qu’Al-Qaïda, il réplique: «Le radar de la situation ne donne pas des calculs qu’on peut mesurer de manière scientifique. Mais si on compte les attentats d’Al-Qaïda en Suisse, on est à zéro. Tandis que les attentats commis par des extrémistes de gauche existent.»

(Source:lematin.ch)

Article toujours bon à relire. Il nous montre à la fois la violence de l’extrême gauche et de la vermine antifasciste qui est une grande menace pour la sécurité en Suisse, et il nous montre aussi les membres du PS qui défendent leur petits copains d’extrême gauche.

Commentaire très juste d’un internaute : « L’extrême gauche est proche idéologiquement du Ps, on comprend donc pourquoi Eric Voruz s’offusque qu’on puisse dire que ses amis ne sont pas des saints mais bien un danger pour la démocratie. Faudrait lui rappeller qu’entre le communisme (dont il est le plus proche idéologiquement), et le nazisme, c’est une idéologie proche de la sienne qui a fait le plus de morts dans le monde. Gauche angélique« 


Communiqué sur l’affaire Méric.

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Un jeune de 20 ans, travailleur, prolétaire, fils d’immigré espagnol, vivant en Seine Saint-Denis, và s’acheter un Fred Perry d’occasion (vu que c’est trop cher). Il n’est pas connu des services de police, il a une copine et un appartement, une vie.
Il est attendu sur les lieux de la vente par une bande d’antifas, dont un fils de prof, élève à science-po, embrigadé et prêt, avec ses amis, à en découdre et l’ayant annoncé ouvertement.
Le prolétaire refuse plusieurs fois le combat, il ne veut pas se battre.
Les petits bourges reviennent à la charge.
Le prolétaire et ses amis se défendent.
Pas besoin de chercher qui est la victime.

Qui est Clément Méric ?

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Clément Méric est un antifa de 19 ans, il faisait parti des « Redskins » de Brest (Skinhead Communiste) avant de venir à Paris et de rejoindre le groupe violent « Action Antifasciste Paris-Banlieue ». Clément Méric est connu pour aimer vouloir « casser du facho », c’est un jeune bourgeois, fils de profs (déjà) à la retraite, étudiant à Science-Po en première année endoctriné par d’anciens communistes recyclés à servir l’oligarchie mondialistes en formant de petites milices qui étiquetteront de « Fascistes » et « d’extrême droite » tous les groupes dissidents,patriotes et nationalistes.

Un des camarades de classe à Clément Méric a déclaré: « Certes le gosse est mort, mais lui aussi donnait des coups, ce n’est pas un petit saint qui passait pa hasard, il était prêt à tabasser ceux qui l’ont tabassé »

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Ci-dessus: Clément Méric venu provoquer la manif pour tous le 17 avril.

 Mais ce qui nous intéresse dans cette photo n’est pas le foulard, c’est sa chevalière. Sur cette image il joue du pouce et du majeur pour retourner le chaton sous son index et dissimuler la trop voyante bague aux vues des objectifs. Tout le long de la vidéo on le voit tourner cette chevalière, en fonction du rôle qu’il joue.

Clément Méric ne se sert pas de sa chevalière comme d’une simple bague d’appartenance ou par coquetterie. Il la porte à l’index pour s’en servir comme une arme et lorsqu’il est inquiet et que le danger menace, place le chaton en avant du poing. Dès lors qu’il ne se sent plus en danger ou qu’il est pris en photo, il cache le chaton dans sa paume. Cet adolescent au nom de noblesse ne semble assumer sa chevalière qu’en tant qu’arme de poing.

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Ci-dessus:Le groupe « Action Antifasciste Paris-Banlieue » décrit comme « pacifiste » par les merdias.

Un vigile présent sur les lieux du drame est qualifié de témoin « principal » par les policiers. L’homme met en cause les quatre militants du groupuscule antifasciste auquel appartenait la victime, et plus particulièrement l’un d’entre eux. Selon ce témoignage, ce garçon, très remonté, avait des gants de boxe dans son sac et a incité les autres à se battre contre les skinheads, qui, toujours selon le vigile, cherchaient plutôt à éviter l’affrontement et à partir discrètement.

Le témoin a précisé que Clément Méric aurait déclaré à propos des skinheads : « Ce sont des gens qui ne devraient même pas être vivants. »

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Ci-dessus: Le groupe « Redskins » donc Clément Méric faisait parti a Brest (http://redskins-pride.skyrock.com/)

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Clément Méric : la vidéo de l’agression a parlé

On avait d’abord cru qu’aucune image ne pourrait aider les enquêteurs… Finalement, trois semaines après l’agression mortelle de Clément Méric, le 5 juin dernier à Paris, la police judiciaire parisienne a mis la main sur les premières images de la bagarre.

La scène a été filmée par une caméra de surveillance de la RATP, située côté rue, au niveau de la station Havre-Caumartin. Les experts de la police technique et scientifique ont travaillé pendant plusieurs jours sur ces images pour les faire parler. Elles permettent de se faire une idée précise de la scène, jusqu’alors uniquement racontée par des témoins.

On y voit notamment Clément Méric se précipiter vers Esteban Morillo, le meurtrier présumé, alors de dos, semble-t-il pour lui asséner un coup. Le skinhead se retourne alors et le frappe avec son poing en plein visage.

L’image ne permet pas de dire de façon formelle si Esteban Morillo donne un deuxième coup, ni s’il a ou non un poing américain. Le militant d’extrême-gauche, en tout cas, tombe immédiatement au sol, inconscient. Il n’est pas lynché une fois par terre.

L’autopsie avait établi que la victime n’était pas morte en tombant sur le bitume, mais avait été tuée par un ou plusieurs coups au visage  Ces images permettent de confirmer l’identité du meurtrier. Elles excluent l’hypothèse d’un lynchage, montrent un Clément Méric provocateur et confortent la thèse du juge sur une mort accidentelle à la suite de coups donnés.

Qui est Esteban Morillo ? 

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Estéban Morillo est un jeune de 20 ans, travailleur, prolétaire, fils d’immigrés Espagnols vivant en Seine Saint-Denis, va sa’cheter une polo Fred Perry d’occasion (Vu qu’il n’a pas les moyens d’acheter des polos neufs). Il n’est pas connu des services de police, il a une copine et un appartement, une vie. Esteban militait également pour la cause animale.

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Il est attendu sur les lieux de vente par une bande d’antifas, L’action antifasciste Paris-Banlieue, dont Clément Méric, un fils de profs, élève à science-po, embrigadé et prêt, avec ses amis, à en découdre et l’ayant annoncé ouvertement. Le prolétaire refuse plusieurs fois le combat,  il ne veut pas se battre. Les petits bourges reviennent à la charge. Le prolétaire et ses amis se défendent, Pas besoin de chercher qui est la victime.

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Esteban n’est pas le gros méchant Skinhead comme il nous est présenté dans les médias.

Honte aux personnes qui manipulent des jeunes en les envoyant provoquer et affronter des nationalistes innocents et honte aux merdias et aux « Antifas » qui font passer Esteban pour un assassin alors que l’agresseur est personne d’autre que Clément Méric !

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Les Jeunesses Genevoises expriment tout leur soutien envers Estéban Morillo ainsi qu’à sa famille, sa petite amie et ses camarades, victiment de l’acharnement médiatique ainsi que l’acharnement de la vermine antifasciste.

Liberté pour Estéban ! Clément Méric seul responsable de sa mort !

Défendre sa vie n’est pas un crime.

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Page Facebook en soutien à Esteban : https://www.facebook.com/SoutenonsEstebanOfficiel

(Source:lepoint.fr/leparisien.fr/huffingtonpost.fr/meltycampus.fr/rtl.fr/nationspresse.info/ndf.fr/illwieckz.net/contre-info.com)


BERNE – La traque aux perturbateurs après Tanz dich frei

Le procureur de Berne-Mitelland et la police cantonale ont décidé de publier les photos susceptibles de faciliter l’identification des perturbateurs de la manifestation «Tanz dich frei» du 25 mai dernier.

Les images récoltées suite à un appel à la population sont désormais visibles sur le site de la police cantonale bernoise.

La police prie les personnes susceptibles d’identifier les 78 perturbateurs photographiés de s’annoncer auprès d’elle.

Toutes les personnes dont la photo est publiée s’exposent à des sanctions pénales.

(Source:Le Matin)


Les Jeunesses Genevoises commémorent le 9 novembre 1932

Le 9 novembre 1932, l’Union nationale, parti nationaliste suisse, organisait un meeting à Genève. À cette occasion, le Parti socialiste, communistes et antifascistes répondirent en défilant dans la rue et tentèrent de mettre fin à l’évènement. L’extrême-gauche attaqua avec une violence incroyable des policiers puis des militaires qui avaient été mobilisés par les politiques bourgeoises pour assister la maréchaussée sous prétexte que celle-ci n’avait pas d’effectif suffisant pour assurer l’encadrement de la manifestation. Après les sommations d’usage demeurées incomprises par la foule chauffée à blanc par le socialiste Léon Nicole et de véritables scènes de lynchages effectués sur les recrues, les officiers tirèrent sur la foule, pensant là qu’il s’agissait du meilleur moyen de sauver leur intégrité physique. Treize hommes perdurent la vie sous les balles des jeunes recrues et une soixantaine d’autres furent blessés. Sur le nombre total de mort, il n’y avait que 3 manifestants, les autres n’étaient que de simples passants.

Ce 9 novembre 2012, l’extrême-gauche, quelques syndicats et les éternels antifascistes avaient donc décidé de manifester pour commémorer les morts ainsi que pour dénoncer ce qu’ils appellent la « Paix sociale » (comprendre l’état apparemment trop sécuritaire, des milices d’extrême-droites trop présentes, le renvoi systématique des clandestins…). C’était aussi l’occasion pour certains membres de ces pertinents intellectuels de s’affirmer en tant que militants de terrain en faisant sauter quelques pétards derrière une cagoule et entourés de plusieurs centaines de camarades. Nous les avons entendu, les antifascistes étaient donc présent… Et nous aussi !

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Pourquoi une action commémorative organisée par des nationalistes convaincus pour cette fusillade ? N’était-ce pas des manifestants s’opposant à la teneur d’un meeting de patriotes ? N’ont-ils pas attaqué l’armée, provoquant ainsi une réponse fatale ?

D’une part, les militaires n’auraient jamais du être sollicités pour un tel évènement. Ils n’avaient ni l’expérience, ni le matériel pour gérer de tels émeutes et l’issue tragique de cette triste journée était inéluctable. Les politiques bourgeoises de la ville voulant préserver leurs intérêts qu’ils sentaient menacés n’en ont eu cure, scellant ainsi le destin de treize citoyens. Comme toujours, ils trahirent le peuple qui avait placé sa confiance en eux.

Quant aux morts, simples passant pour la plupart ils ne sont rien d’autres que les victimes de l’antifascisme. À force de provocation et de brutalités inouïes, à force d’addiction pour la violence au lieu de respecter les valeurs et les droits de ce pays, ils ont déclenché une répression à laquelle ils ne s’attendaient pas. Ils ont le sang de simples passants qui en pensant rentrer chez eux ont trouvé la mort dans les rues. Ces morts, bien loin de justifier la cause du combat antifasciste, le dénoncent. Ils le mettent sous lumière, ils l’accusent. Oui messieurs les terroristes d’extrême-gauche, vous avez bien le sang de ces pauvres âmes sur vos mains déjà sales ! Et notre commémoration quant à cette tragédie est bien plus propre que la vôtre !

C’est donc en cette soirée du 9 novembre 2012 que nous nous sommes rassemblés pour commémorer cette triste affaire et mettre un peu de lumière sur les véritables instigateurs de cette fusillade. Après avoir posés des roses aux pieds de la stèle commémorative sous les applaudissements des quelques personnes présentes sur place qui ne semblent pas avoir compris tout de suite qui nous étions, un petit discours improvisé expliqua la raison de notre présence et de notre action, suivit de plusieurs slogans guerriers poussés par les militants présents. S’ensuivirent quelques discussions animées avec quelques personnes présentes sur place et après un dernier contrôle des fonctionnaires en bleu, nous quittâmes les lieux.

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Nous étions présents et dans la lumière, rendant hommage à ce qu’il aurait été simple d’appeler des opposants. Nous nous sommes montrés courtois mais déterminés, fiers sans être arrogants, respectueux et guerriers ! Nous sommes les Jeunesses genevoises et nous l’avons montré, nous sommes présents et nous le serons à chaque fois que nous le penseront nécessaire ! Que vive Genève, heil dir, Helvetia !